J'ai appris à lire dans l'atlas Bordas de mon père, m'a-t-il toujours raconté. L'amour des cartes ne m'a pas quitté depuis, pas plus que celui du tricot (activité consistant à établir et des listes statistiques de joueurs de foot, de cyclistes, de pays quand on est minot, puis de villes, de pays et de députés maires...). D'où mon surnom - le tricoteur, trouvaille de ma meilleure copine.